Pensée du jour : couvrez ce sein que je ne saurais voir

petite anthologie pour lecteurs français

The Care Bears R

Une fréquentation me confia voila quelques années que dans les réunions de cadres du privé, une règle d’or est de ne jamais aborder les questions qui fâchent. J’ai compris avec le temps comme la contrainte est vraie. Dans une société dont les règles sont aujourd’hui édictées par les écoles de commerce, ce vice profond est un symptôme de l’inéluctable déclin de la civilisation occidentale

En 1974, époque lointaine, cet état d’esprit était réservé aux enfants mais une poitrine dénudée ne choquait presque personne

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5 responses to “Pensée du jour : couvrez ce sein que je ne saurais voir”

  1. […] d’or est de ne jamais aborder les questions qui fâchent. J’ai compris avec le temps comme la contrainte est vraie. Dans une société dont les règles sont aujourd’hui édictées par les écoles de commerce, ce […]

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  2. […] Jemand, den ich kannte, sagte mir vor ein paar Jahren, dass es bei Meetings von Führungskräften des Privatsektors eine goldene Regel sei, niemals lästige Fragen anzusprechen bei Nicolas. Viele Worte braucht es da nicht. Das ist auch der Unterschied zur DDR. Dort wurden nur lästige Fragen gestellt. Die wurden dann in Parteiaufträge formuliert und ausgegeben. […]

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  3. […] Jemand, den ich kannte, sagte mir vor ein paar Jahren, dass es bei Meetings von Führungskräften des Privatsektors eine goldene Regel sei, niemals lästige Fragen anzusprechen bei Nicolas. Viele Worte braucht es da nicht. Das ist auch der Unterschied zur DDR. Dort wurden nur lästige Fragen gestellt. Die wurden dann in Parteiaufträge formuliert und ausgegeben. […]

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