
Jean-François Ricard, chef du Parquet national anti-terroriste (PNAT), le général de gendarmerie Jean-Philippe Reiland, chef de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine (OCLCH), d’autres encore, sont allés à Kiev sur commande, servir la soupe à la flicaille ukrainienne.
C’est à ce genre d’anecdote que se mesure le peu d’intégrité professionnelle de fonctionnaires d’un pays qui depuis des décennies, à vil prix, tente désespérément d’apparaître sur la scène internationale bien au dessus de ses moyens réels, alors que l’Ukraine commet depuis huit ans des crimes terroristes.
En ce matin du 17 septembre, quatre civils au moins ont encore été tués dans des quartiers résidentiels de Donetsk, par des bombardements ukrainiens délibérés, avec des armes et munitions françaises

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